Ce projet est soutenu par le Fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER) de l’Union européenne.

 

 

Depuis que nous vivons ici, nous avons tissé des liens avec des paysannes et paysans du pays Dignois.

Les périodes de confinement, les crises climatiques et politiques, les guerres, nous ont fait réellement prendre conscience de la fragilité de ces activités mais aussi de leur importance dans notre quotidien. En concurrence avec le monde de l’agriculture industriel, ils produisent de la nourriture sur notre territoire pour une consommation essentiellement locale.

En plus de nous nourrir sainement, ils agissent pour la protection de la biodiversité et des paysages, pour la préservation des sols et la lutte contre l’érosion, pour la diminution des pollutions (transports, emballages, déchets, engrais, pesticides), et contre le réchauffement climatique.

Nous voulons agir, en tant que réalisateurs, à notre manière et avec notre savoir-faire.

  • Nous avons d’abord choisi de faire les portraits documentaires d’une vingtaine de productrices et producteurs locaux qui travaillent en circuits courts. Ces portraits sont les récits personnels de femmes et d’hommes qui ont choisi des vies qui font sens au quotidien. Choisis au gré de rencontres, ces portraits représentent une petite partie de la richesse des productrices et producteurs de notre territoire.
  • Nous avons aussi réalisé « où vont les mésanges la nuit ? » (50 min) autour de ces paysannes et paysans. Dans ce film choral chacun apporte une contribution à un plaidoyer pour une agriculture humaine. Le film est disponible pour des projections. N’hésitez pas à nous contacter si vous souhaitez le projeter.
  • Enfin, un film court (re(faire) le monde – 4 min, ci-dessous) permet d’en savoir (et voir) plus sur les tenants et les aboutissants des circuits courts.

Les réalisateurs, Yann & Nicolas

 

 

 

A Yann, parti trop tôt